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Le cens de la Famille : les femmes et le vote 1789-1848 - Sommaire
Présentation
Sommaire de l’ouvrage
– Préface de Mona Ozouf
– Introduction
- Des citoyennes sans citoyenneté
- L’universel comme communauté d’intérêts
– Chapitre premier : La société civile et politique des individus
- Le droit de suffrage, attribut de l’indépendance
- Un égalitarisme tempéré de hiérarchie
- Le cens, mesure de l’influence sociale
- L’invention de la sphère domestique
- La nécessaire occultation de la famille par l’individualisme
- La famille comme société politique
– Chapitre deuxième : Un suffrage familialiste
- Le lien familial, catégorie du droit électoral
- Le père est toujours le chef de la famille
- L’électeur, ou la fiction de l’héritier universel
- Le familialisme, constitutif du citoyen libéral
- Un cens « personnel, incessible et inaliénable »
- Le droit des veuves, enjeu électoral
– Chapitre troisième : La communauté naturelle des hommes
- L’universalité des citoyens, une rupture sans précédent
- La communauté de référence et ses possibilités de réalisation
- Cormenin, rédacteur modéré d’un décret radical
- La référence à 1793, ou de « l’utilité de la société » au détriment de la métaphysique
- L’homme indéfini d’un suffrage universel « illimité »
- La loi de 1850 et le retour à « l’homme vrai, le vrai citoyen »
- Le droit de suffrage : une fonction virile et morale
- La communauté de référence et ses possibilités de réalisation
- Vers l’épuisement du modèle politique de la famille
- La revendication en faveur d’un suffrage féminin en 1848
- Une conception sexualiste de la citoyenneté...
- ... préférée à des arguments plus individualistes
- Le suffrage universel familial : une revendication de substitution
- La tentation de distinguer les citoyens chargés de famille
- L’individualisation des membres de la famille
- La revendication en faveur d’un suffrage féminin en 1848
– Conclusion
- La situation politique des femmes
- La définition de l’individu politique