Avant-propos, par Jacques Guilhaumou et Thomas Stehlin |
11 |
Prologues |
15 |
Première partie : Le temps du concept, entre intervalle et achèvement : quelque chose du futur |
21 |
1. Le moment du passage : le contexte nanterrois |
21 |
2. Arrêt sur image : mon spectre en mai 68 |
30 |
3. Image en mouvement : l’imagination au pouvoir |
36 |
4. Le déploiement du concept, sa convocation par l’événement |
39 |
5. Quelque chose ouvrant le futur |
43 |
Premier excursus : Deleuze, ou comment faire de mai 68 « une langue dans une langue » |
47 |
Seconde partie : Une cartographie cognitive |
53 |
1. Les graffitis et slogans sur les murs de Nanterre : un élan utopique |
54 |
2. La cour de la Sorbonne : nostalgie de la lecture |
60 |
3. De manifestation en manifestation, devenir protagoniste de l’événement |
68 |
4. L’assemblée générale : ceci n’était pas de la démocratie |
70 |
5. La nuit des barricades : le complot médiatique |
73 |
6. L’engagement collectif d’une pensée |
79 |
Second excursus : Jameson, une cartographie postmoderne du processus utopique |
83 |
Troisième partie : Effeuillage d’une mémoire révolutionnaire |
91 |
1. Mai 68 ou la joie d’exister |
92 |
2. La joie de tous les moments |
95 |
3. De l’ancien au nouveau monde |
99 |
4. Annuler la différence : la quête de la révolution permanente |
101 |
5. L’intrusion du politique |
107 |
Épilogue en deux temps |
125 |
Table des dessins et photographies |
133 |
Table des matières |
135 |